Ulyana Sergeenko s’inspire d’histoires de polar façon Hollywood où plane le souvenir d’Al Capone et de gangsters. De la prohibition aux punks, les méchants tiennent le haut du pavé dans un style qui se tourne vers les années 40. Taille marquée, épaules dessinées. Un côté un peu masculin pour le jour avec des manteaux de laine, des tailleurs, des chapeaux, des bérets.
Glamour du soir avec des transparences, des broderies et des matières comme la soie, l’organza.
Un zeste de fourrure en ponctuation, en étole.
En accessoires, de grands sacs de voyage et de petits gants blancs à la Michael Jackson. Nostalgie de la femme fatale des films noirs.