Dualité d’une collection hybride. Les imprimés s’opposent, se heurtent pour mieux fusionner. Deux par deux, les mannequins avancent leur silhouette au maquillage enfantin, exacerbé ; yeux écarquillés, cils démesurés et couettes hors norme. Mignon ? Cute, kawai à réminiscences d’Harajuku ? Non, de fausses petites filles modèles, poupées azimutées avec vêtements recomposés et faux romantisme étrange.
Jeu de dédoublement avec demi-robes, demi-jupes, demi-pulls qui se marient à d’autres composantes.
Un clin d’oeil sportswear avec l’utilisation de sweats siglés UCLA.
Jeu de trompe-l’oeil avec sur-robe greffée sur parka.Si la fleur est le motif dominant, elle est plutôt rétro voire vintage.
S’invitent des thématiques chères au créateur, ainsi l’esthétique punk et les perfectos, le denim revisité.
Parmi les motifs, quelques imprimés cachemire et des carreaux pour vestes masculines.
Garde-robe hybride, dédoublement de vestiaire. Fragments d’un discours de mode.
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